Une première ! Durant la semaine du British Open, Golfy était présent à Saint Andrews pour rencontrer les acteurs du monde du golf international et faire connaître le réseau auprès des médias et des voyagistes. Des soirées réussies autour de la plancha de Pierre-Dominique Cécillon des Toques Blanches et d’un peu de champagne…
Ce n’était pas le club-house du Royal & Ancient mais la convivialité était bien présente dans la villa Golfy. » Qui en aurait douté !
En quelques mots, Alain Jeanjean résumait bien l’ambiance et l’engouement engendrés par Golfy durant le British Open. La chaleur méditerranéenne sous la pluie écossaise, histoire de réchauffer l’ambiance tous les soirs de 17 à 23 heures ! L’idée était de faire connaître Golfy à l’international.
Le Réseau est avant tout français et les étrangers le connaissent mal, voire pas du tout. Grâce à l’entremise de Richard Wax, organisateur du Saint Andrews Golf Festival, de nombreuses personnalités du monde du golf sont venues prendre un verre et discuter autour de la plancha de Pierre-Dominique Cécillon, l’ancien président des Toques blanches, avec Alain Jeanjean et toute l’équipe Golfy.
Beaucoup d’Américains, d’Asiatiques, d’Australiens ont ainsi pu découvrir la réalité et la variété du golf en France. Des présidents de fédérations européennes, Carin Koch, la capitaine de l’équipe européenne de Solheim Cup 2015, l’architecte californien Robert Trent Jones Jr., Jean-Lou Charon et toute l’équipe de la FFGolf, Thomas Levet et le team Canal +, ils ont tous levé leur verre à l’initiative de Golfy.
Une idée qui sera reconduite sur quatre ans jusqu’à la venue de la Ryder Cup à Paris.
Un moyen de faire découvrir le Réseau et le potentiel du golf en France à la presse internationale, un relais essentiel qui passera bientôt par des voyages de presse sur les Domaines Golfy, du concret au plus près des parcours et de ceux qui les font vivre.
L’an prochain lors du British Open, vous retrouverez Golfy sur le Royal Troon puis en 2017 au Royal Birkdale et à Carnoustie en 2018. Avec toujours la même chaleur humaine et peut-être un peu plus de soleil…
Par Claude Granveaud-Vallat