Ce Dimanche 13 Août aura marqué les esprits ! Pour cette 1ère édition de ” Les Gets Golf Vintage ” les conditions étaient optimales.
Tout le monde s’est prêté au jeu pour remonter dans le passé le temps d’une journée. Bérets, foulards, moustaches, chaussettes longues, robes (et même des kilts !) … des tenues à l’ancienne aussi originales les unes que les autres !
Les participants ont pu profiter de la présence d’un barbier pour perfectionner leurs looks rétro. Un concours de drive à l’ancienne sur le trou n°12 était organisé.
Les joueurs avaient pour obligation de jouer avec les clubs (en bois pour l’occasion) proposés au départ, et fût remporté par Léopold Huss chez les hommes et Julie Brendle chez les dames.
Cette compétition qui se déroulait en Scramble à 2 a été remportée par la paire Jérôme Bron et Benoît Buttay avec un joli score de -5 sous le par.
Un concours d’élégance était également organisé, et le jury a décidé de récompenser non pas une personne mais 2 équipes, composées d’Etiennette Moussy, Martine Julliand, Pierrette Baud et Anne Charlotte Grivel qui ont eu la bonne idée de se parer de robes identiques. Bel effort mesdames !
Pour clôturer cette belle journée, un dîner guinguette était proposé par le Chalet du Golf avec une formule plat, dessert également ouvert aux non-golfeurs. Un concert d’accordéon est venu clôturer la soirée et enflammer la piste de danse pour faire guincher les participants.
Le rendez-vous est pris pour la prochaine édition en 2018 qui s’annonce déjà grandiose !
En Savoie, entre la dernière godille des skieurs et l’arrivée des golfeurs, la fenêtre est étroite pour les jardiniers du golf des Gets pour réveiller et préparer les fairways avant que les vaches ne montent à l’alpage. Terre pastorale, Les Gets vit de l’exploitation du bois. Le festival « Billes de bois » organisé chaque été met en avant cette activité liée au chauffage comme à la construction.
De quoi ravir les joueurs qui plantent leur tee au départ des trous dessinés dans la forêt gétoise en 1995 par Olivier Dongradi. Chaque trou fait référence à un sommet environnant, le 7 rend hommage au maître des lieux, le fameux mont Blanc qu’il suffit de viser pour attendre le fairway… d’un par 5 en dogleg droit dont le green ne se découvre qu’à l’approche ! Lorsque le soleil vient réchauffer les estives, on en oublierait presque de garder les yeux sur la balle ! Au départ du 11, le plus long par 3 du tracé, le mont Chéry sert de mire…
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