Pour sa dernière étape de la saison, le Club Paris Golfy a ouvert
les portes du Golf National à des joueurs impatients d’en découdre sur le
parcours hôte de l’Open de France quelques jours plus tôt. Bravo à tous et
merci à François Ménard pour tout le travail accompli tout au long de l’année à
travers l’Île-de-France.
Par Claude Granveaud-Vallat
Même si les départs étaient un peu avancés, les drapeaux demeuraient les mêmes qu’au dernier tour de l‘Open de France, les tontes de l’Albatros étaient aussi impeccables que pour l’accueil des champions, les fairways toujours étroits aux zones de chute de drive, les pièces d’eau toujours bienvenues et la gestion du putting compliquée pour des joueurs peu habitués à des greens si rapides…
Heureusement le ciel était clément en ce jeudi d’octobre, pas de pluie, peu de vent et même de belles éclaircies rendant le parcours magnifique sous un soleil d’automne. Dans la plaine francilienne, la corne de brume résonnait comme un appel au combat matinal, à l’assaut ! Très vite, tout le monde prenait conscience de la qualité d’entretien du parcours même si les pluies de ces derniers jours avaient assoupli le terrain. Certains souffraient, d’autres optimisaient les points rendus en stableford sur un scramble à deux, bienvenu pour limiter la casse !
La traditionnelle pause au 10 avec le jambon et l’éventuelle dégustation des nectars de raisin… régénérait les esprits comme les swings, histoire de tenir cinq heures sur le ring, uppercut, direct du droit, coup au plexus, le terrain sait se défendre ! La panoplie était complète pour se rendre compte de la difficulté d’un parcours préparé pour une épreuve du Tour européen.
A l’arrivée tandis que tout le monde se restaurait sous le hall du Golf National, sous la fresque allégorique de l’histoire du golf en France, à côté des souvenirs de la Ryder Cup, jambon, saucisson, fromages de chèvre, brie de Meaux, vin blanc, rouge et rosé, redonnaient du baume au cœur des plus dépités comme à ceux qui avaient limité la casse. A ce jeu-là, une paire venue de Forges-Les-Bains constituée de Stéphane Schaepelynck et Sébastien Martineau s’imposait en brut avec un score de 34 points, avec un coup d’avance sur Romain Attal et Peter Treuherz. Une très belle performance auréolée, entre autres, d’un eagle sur le 18. Bravo messieurs ! En net, Paul Pfister et Arthur Delaître ont maîtrisé la fougue de leur jeunesse pour rendre une carte de 39 points. Là encore, un excellent résultat récompensé de beaux lots offerts par Decléor, Nikon, Gérard Bertrand, Jacquart, Golf en Ville, Srixon et les Domaines Golfy.
Photo de gauche, Paul Pfister et Arthur Delaître – Photo de droite, Stéphane Schaepelynck et Sébastien Martineau
Tandis que le saucisson et le fromage de chèvre rendaient addict les plus gourmands, François Ménard donnait rendez-vous à tout le monde en 2020 avec encore plus de belles surprises à l’occasion des 30 ans du réseau Golfy.
Le calendrier des compétitions du Club Paris Golfy sera en ligne sur le site au plus tard en début d’année. D’ici là, entraînez-vous, restez chaud en attendant d’entendre à nouveau chanter les birdies dès les compètes de printemps…
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